Thomas, Gab, une statuette de chien, Jean-Sebastien Bach, des jambes et un banjo. On a trouve une sorte de betise commune, qui nous a suivi tout l’apres midi. En fait on a carrement fait le concours de celui qui irait le plus loin dans l’absurde, sans exploser de rire.
Du coup on a joue un seul morceau, mais de toutes les manieres possibles et imaginables, encore et encore. C’est une marche de Haute Bretagne, du moins ca l’etait avant qu’on la reinterprete. Il y a en tout une petite dizaine de variations, et voici la numero 6.
(ps : desole pour l’absence d’accents dans ce post, je suis actuellement en Irlande et les ordinateurs locaux n’ont pas toutes les subtilites de la langue de Moliere…)